Jésus
n'est pas venu seulement annoncer l'amour éternel de
Dieu pour l'humanité. Jésus est envoyé à un peuple de rebelles incapables d'aimer, pour les appeler à la repentance. Et il prévient
clairement qu'en cas de refus, le jugement de Dieu suivra.
Trop souvent on veut réécrire l'histoire, faire de Jésus un sage mystique, un baba-cool antique, ou un humaniste éclairé, mais la vérité c'est que Jésus ne nous laisse pas ces possibilités. Un sage mystique n'aurait pas volontairement provoqué les autorités juives et romaines pour être crucifié, un baba-cool n'aurait pas autant parlé de l'Enfer, un humaniste n'aurait pas tant insisté sur l'incapacité de l'homme à s'améliorer par lui-même, et son besoin de Dieu.
On ne peut penser ça que si on n'a jamais lu aucune page de la Bible, et si on l'a lue, alors on est obligé de conclure que soit Jésus était fou, soit il était ce qu'il prétendait être : Dieu.
Car dans l'histoire de l'humanité, il y a 4 types de personnages marquants : les fous qui se prenaient pour des hommes, les fous qui se prenaient pour des dieux, les sages qui se prenaient pour des hommes, et le sage qui se prenait pour Dieu. La dernière catégorie est au singulier parce qu'il n'y a que Jésus qui l'ait fait. Mais bref, étant donné que Jésus se prenait pour Dieu, soit il était fou, et donc pas Dieu, soit il était sage, et donc Dieu.
Or peu de gens dans l'Histoire ont imaginé que Jésus pourrait avoir été un simple illuminé, un dérangé qui aurait par mégarde fait une telle impression sur les hommes qu'il aurait renouvelé à lui seul une religion aussi vieille que le judaïsme et qui perdure encore deux mille ans plus tard. Et effectivement, c'est très peu probable.
La réalité, c'est que Jésus n'est pas dérangé, mais il dérange. Et c'est pour ça qu'on veut réécrire l'histoire sans la connaître - on veut le cataloguer pour se rassurer. On n'a surement pas envie d'entendre que, peut-être, on se trompe. On craint son discours révélateur, qui jette une lumière peu flatteuse sur la nature humaine - sur nous, sur toi. Croire qu'il est qui il prétendait être, et qu'il peut nous sauver de notre condition humaine demande un grand sacrifice pour notre égo.
Et pour accepter de prendre ce risque, il faut être désespéré par ce monde et par soi-même. Mais heureusement, nous n'en sommes pas tous là. Et puis si on déprime un peu parfois, il suffit de regarder des séries exaltantes à la télévision, ou de se plonger dans le boulot, ou les relations amoureuses - ça occupe l'esprit et ça évite de trop réfléchir.
Trop souvent on veut réécrire l'histoire, faire de Jésus un sage mystique, un baba-cool antique, ou un humaniste éclairé, mais la vérité c'est que Jésus ne nous laisse pas ces possibilités. Un sage mystique n'aurait pas volontairement provoqué les autorités juives et romaines pour être crucifié, un baba-cool n'aurait pas autant parlé de l'Enfer, un humaniste n'aurait pas tant insisté sur l'incapacité de l'homme à s'améliorer par lui-même, et son besoin de Dieu.
On ne peut penser ça que si on n'a jamais lu aucune page de la Bible, et si on l'a lue, alors on est obligé de conclure que soit Jésus était fou, soit il était ce qu'il prétendait être : Dieu.
Car dans l'histoire de l'humanité, il y a 4 types de personnages marquants : les fous qui se prenaient pour des hommes, les fous qui se prenaient pour des dieux, les sages qui se prenaient pour des hommes, et le sage qui se prenait pour Dieu. La dernière catégorie est au singulier parce qu'il n'y a que Jésus qui l'ait fait. Mais bref, étant donné que Jésus se prenait pour Dieu, soit il était fou, et donc pas Dieu, soit il était sage, et donc Dieu.
Or peu de gens dans l'Histoire ont imaginé que Jésus pourrait avoir été un simple illuminé, un dérangé qui aurait par mégarde fait une telle impression sur les hommes qu'il aurait renouvelé à lui seul une religion aussi vieille que le judaïsme et qui perdure encore deux mille ans plus tard. Et effectivement, c'est très peu probable.
La réalité, c'est que Jésus n'est pas dérangé, mais il dérange. Et c'est pour ça qu'on veut réécrire l'histoire sans la connaître - on veut le cataloguer pour se rassurer. On n'a surement pas envie d'entendre que, peut-être, on se trompe. On craint son discours révélateur, qui jette une lumière peu flatteuse sur la nature humaine - sur nous, sur toi. Croire qu'il est qui il prétendait être, et qu'il peut nous sauver de notre condition humaine demande un grand sacrifice pour notre égo.
Et pour accepter de prendre ce risque, il faut être désespéré par ce monde et par soi-même. Mais heureusement, nous n'en sommes pas tous là. Et puis si on déprime un peu parfois, il suffit de regarder des séries exaltantes à la télévision, ou de se plonger dans le boulot, ou les relations amoureuses - ça occupe l'esprit et ça évite de trop réfléchir.
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