Une forme voisine du faux raisonnement de question-piège est de poser une question qui implique une réponse complexe tout en exigeant une réponse simple et rapide. Bien sûr, on condamne l'interlocuteur s'il ne peut pas rapidement apporter de réponse simple.
Ex : Une amie chrétienne qui travaille comme serveuse se retrouve confrontée, au milieu de son service, à une question difficile, par une de ses collègues, non-chrétienne. "L'avortement, t'es pour ou contre ?". Cette amie a eu le bon sens de répondre que la question était complexe et méritait plus qu'une simple réponse à choix binaire. Si sa collègue avait condamné mon amie pour cette réponse, elle aurait commis le faux raisonnement de la question complexe.
Autrement dit, ce n'est pas parce qu'on nous présente un choix binaire qu'il faut l'accepter (et ça rejoint l'idée du faux raisonnement en noir et blanc).
Ex : Une amie chrétienne qui travaille comme serveuse se retrouve confrontée, au milieu de son service, à une question difficile, par une de ses collègues, non-chrétienne. "L'avortement, t'es pour ou contre ?". Cette amie a eu le bon sens de répondre que la question était complexe et méritait plus qu'une simple réponse à choix binaire. Si sa collègue avait condamné mon amie pour cette réponse, elle aurait commis le faux raisonnement de la question complexe.
Autrement dit, ce n'est pas parce qu'on nous présente un choix binaire qu'il faut l'accepter (et ça rejoint l'idée du faux raisonnement en noir et blanc).
1 commentaires:
Ton sujet me fait penser à une lecture lointaine d'Arthur Schopenhauer, L'art d'avoir raison. Très utile en apologétique, on voit venir le contradicteur avec ses sabots et son sens du contournement...
Enregistrer un commentaire